Pour Mincir Durablement, « la Solution Commence dans la Tête, pas dans l’Assiette ».
Si vous faites partie des 57% de Français qui ont grossi lors du confinement, « des éternels déçus » des régimes et, paradoxalement, souhaitez en entamer un nième, si vous souhaitez venir à bout, une fois pour toute, de cet effet yoyo et ne plus vous alimenter en mode restrictif/sortir du cercle infernal compulsion / boulimie ou, enfin, si vous utilisez la nourriture comme un doudou, cette méthode d’accompagnement est faite pour vous.
Vers la fin des régimes => Agir sur la Fonction de la Nutrition, réapprendre à manger selon ses instincts : « j’ai faim, je mange ; je m’arrête de manger quand je n’ai plus faim. »
Avant tout, il est primordial de comprendre que notre cerveau déteste les injonctions : il est interdit d’interdire. Restreindre les apports caloriques, utiliser des substituts alimentaires, rééquilibrer, contrôler… Toutes ces façons de faire n’aboutissent pas à l’effet escompté et c’est même tout le contraire qui se passe : dans 95% des cas, les personnes qui font un régime alimentaire reprennent du poids, voire plus (Étude ANSES 2010). Pourquoi ? Parce qu’après la privation vient la compensation ; l’organisme, à la moindre occasion, va stocker, au cas où…
Les troubles du comportement liés à l’alimentation, qu’ils soient de l’ordre du surpoids ou du sous poids, sont des signaux du corps indiquant que le temps est venu de faire autrement. Réapprendre à manger en écoutant ses ressentis corporels ; il est essentiel d’écouter son corps pour retrouver les sensations fondamentales : de faim, de satiété et de plaisir.
Pratiquement, il s’agira de commencer par apprendre à reconnaître les signaux de faim que vous envoie votre corps, tout comme vous le faites naturellement pour d’autres sensations comme le froid (frissons), le chaud (transpiration). Grâce à cela, vous mangerez quand vous aurez réellement faim.
Ensuite, vous apprendrez à reconnaître les signaux de satiété, qui vous permettront de vous arrêter de manger dès que vous n’aurez plus faim et éviter ainsi de vous remplir. Une petite astuce : il est préférable de manger moins d’aliments différents pour aller vers le plaisir et atteindre plus facilement la satiété. Dans le même registre, les études ont démontré que, lorsqu’on ne prête pas intérêt à son repas (parce que l’on fait autre chose en même temps – regarder la télé, lire, travailler sur son ordinateur), on consomme 50 à 80% de calories en plus que quand on est à l’écoute de ses sens.
Vers la fin des régimes => Agir sur les causes profondes des problématiques de poids grâce aux Neurosciences… Le stress est-il à l’origine de la prise de poids ? Et comment ?
Le stress est omniprésent dans nos vies : émotions négatives, situations difficiles, pensées récurrentes… On le sait aujourd’hui, il est excessivement délétère pour notre organisme. Ses incidences sont multiples, en passant des problèmes cardiovasculaires jusqu’à la prise de poids.
Le stress chronique provoque un dérèglement de l’hypothalamus (zone du cerveau directement liée à la prise de poids) par la libération de Cortisol, l’hormone du stress.
Pour les personnes stressées, la nourriture, en plus d’apporter l’énergie, les minéraux et les vitamines dont notre corps a besoin pour fonctionner correctement, joue également un rôle sur le plan émotionnel : elle devient un réconfort, un anti-stress, un refuge contre la souffrance … Il n’est pas rare que l’on parle « d’aliment doudou ». Lorsque ces personnes stressées vont mal, elles croient inconsciemment se réconforter en mangeant. Cela entraîne des comportements impulsifs et boulimiques. La nourriture agit ici comme un régulateur émotionnel. On mange alors, non pas parce que l’on a faim mais pour combler un manque, apaiser un stress ou un mal-être… Dans ces cas-là, on se rabat souvent sur des aliments sucrés, gras ou les deux. Dans ces schémas, le Cortisol a encore une bonne part de responsabilité puisqu’il favorise une appétence pour le gras et le sucre.
En plus, les effets du Cortisol sur la fonction de la nutrition se traduisent par une augmentation de l’appétit, une difficulté à être rassasié et l’interruption de la digestion, impliquant que l’on mange sans Faim et sans fin.
Mes séances de coaching prennent en compte ces différentes composantes : respect des besoins physiologiques, gestion du stress. Ainsi que d’autres outils de thérapies comportementales et cognitives que j’applique, vous donnent les clés pour comprendre et agir sur les comportements qui vous poussent à manger et/ou à stocker ; faire la différence entre une prise de nourriture générée par le stress et le simple fait de se nourrir pour assouvir ses besoins physiologiques.
Un des grands bénéfices de mon accompagnement est, qu’en plus d’agir sur le poids, de façon durable, écologique et en respect de votre organisme, sa personnalisation va agir également sur la façon dont vous vivez le quotidien, sur votre rapport à vous-même et à votre être au sens large du terme. Mon coaching vous permet de gagner en confiance, en sérénité, de baisser votre niveau de stress, en synthèse, de vous alléger la vie, corps et esprit. C’est ce simple détour qui fait tout. Ne plus lutter contre soi-même, ni se fuir. Comprendre pour mieux apprendre, se découvrir autrement (grâce aux neurosciences) en étant simplement soi afin de stopper la reproduction de schémas comportementaux aliénants : voilà l’accompagnement que je vous propose. IL Y A UN AVANT ET UN APRES … Alors, n’attendez plus, venez-vous retrouver, je serai là pour vous guider.
A propos de moi :
Qui suis-je ? Psychométricienne de formation, j’ai passé plus de 20 ans dans le milieu de la santé.
Quelles pratiques ? Dans le cadre de mon activité, j’utilise des techniques de thérapies comportementales et cognitives, très orientées vers les Neurosciences et l’épigénétique, ainsi que des outils de coaching. J’applique ainsi une méthode holistique et novatrice.
En pratique : séances personnalisées, soit en face/face, soit à distance via zoom.
Pour qui : Homme, femme, enfant à partir de 10 ans.